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12 juin 2025
Une athlète s’engage avec des jeunes togolais pour la restauration des terres
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02 juin 2025
Vaccination : Objectif Zéro dose, par le déploiement de postes de stratégie avancée en santé
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30 mai 2025
Le Togo en guerre contre le mariage des enfants
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Les objectifs de développement durable au Togo
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs globaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU au Togo:
Histoire
14 mai 2025
L'Union Africaine et ses partenaires cherchent des solutions à la crise de la dette sur le continent
Cette rencontre réunit des chefs d'État, des ministres des finances, des gouverneurs de banques centrales, des experts économiques, des représentants des institutions financières internationales (FMI, Banque mondiale, BAD) et des partenaires au développement autour du thème : « L’Agenda africain de gestion de la dette publique : restaurer et préserver la viabilité de la dette ». Les travaux de la conférence ont été ouverts le lundi 12 mai par le Président du Conseil des ministres du Togo, SEM. Faure Essozimna Gnassingbé au cours d’une cérémonie officielle marquée également par le discours du président Ghanéen, SEM. John Dramani Mahama et l’intervention par vidéo conférence du président Zambien SEM. Hakainde Hichilema. Durant ces trois jours, les participants vont explorer des pistes de solutions à la crise de la dette qui frappe de nombreux pays africains. La Conférence vise à créer une plateforme de discussions de haut niveau entre les responsables politiques des États membres de l’UA, les partenaires de développement et les principales parties prenantes en vue de renforcer l’efficience, la transparence et la responsabilité de la gestion de la dette publique à l’échelle du continent. En effet, selon la Commission de l’Union Africaine, les finances publiques sur le continent sont de plus en plus sous tension en raison, entre autres, de l’augmentation des charges d’intérêts de la dette, du coût élevé des importations de denrées alimentaires et d’énergie ainsi que de la dépréciation monétaire, le tout causé par des chocs multiples et interdépendants. L’augmentation de la dette publique et des paiements d’intérêts constitue un obstacle au développement et à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine (UA) puisqu’elle limite la capacité des gouvernements à investir dans des services essentiels, tels que la santé et l’éducation. Dans son message d’introduction, M. Claver Gatete Secrétaire général adjoint des Nations Unies et Secrétaire Exécutif de la CEA énonce queL'Afrique ne fait pas que faire face à une crise de la dette ; elle est confrontée à une crise de développement – une crise où le service de la dette concurrence directement la santé, l'éducation, les infrastructures et le droit fondamental au développement.Il précise à cet effet que cinq impératifs sont essentiels pour remodeler le paysage de la dette africaine et restaurer la souveraineté budgétaire. Il s’agit notamment de redéfinir la dette comme un outil de développement, et non de destruction ; d’approfondir la transparence et renforcer la gestion de la dette ; de réformer en toute urgence l’architecture financière mondiale ; d’intensifier le financement vert et de renforcer la mobilisation des ressources nationales. Pour Faure Gnassingbé, Président du Conseil des ministres,L’Afrique a besoin d’une nouvelle doctrine où l’endettement n’est pas considéré comme un mal en soi, mais comme un outil de transformation, à condition d’être bien utilisé et bien encadré .La conférence devra déboucher sur une déclaration de l’Union africaine sur la dette en Afrique qui exprime une position commune sur les réformes nécessaires pour renforcer l’efficacité de l’architecture financière mondiale en matière de mécanismes de traitement de la dette et des recommandations sur les pratiques saines de gestion de la dette et les réformes politiques nécessaires pour restaurer et préserver la viabilité de la dette publique en Afrique., filtered_html
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Histoire
14 mai 2025
A Lomé, la CEA explore les niches pour renforcer le développement économique du Togo
Présent à Lomé pour la conférence de l’Union africaine sur la dette tenue du 12 au 14 mai 2025, le Secrétaire Général Adjoint des Nations Unies et Secrétaire Exécutif de la Commission Economique pour l’Afrique (CEA), M. Claver Gatete a été reçu en audience par le Président du Conseil des ministres et par la ministre du Commerce, de l'Artisanat et de la Consommation Locale. M. Gatete a également rencontré Mme Coumba Dieng Sow, Coordinatrice Résidente ainsi que l'équipe pays des Nations Unies au Togo. Les échanges, au cours de ces différentes rencontres, ont porté sur des questions relatives au développement économique et social du Togo et l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD). Les contributions des Nations Unies aux grands enjeux économiques de l’Afrique notamment le renforcement des systèmes statistiques pour de meilleures prises de décision, la mobilisation des financements pour le développement et l'accélération de la digitalisation des services pour un développement inclusif, étaient également au menu des discussions. Monsieur Gatete a exprimé l’engagement de la Commission économique pour l’Afrique à travailler avec les Agences des Nations Unies résidant au Togo pour une offre unique et de qualité en appui aux initiatives nationales d’accélération du développement inclusif et durable. Le SE de la CEA a clôturé son séjour au Togo par une visite du Port autonome de Lomé et ses infrastructures majeures qui en font un hub portuaire de référence en Afrique et un accélérateur potentiel de la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF). , filtered_html
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05 mai 2025
Le Togo commémore les 31 ans du génocide de 1994 perpétré contre les Tutsis au Rwanda
En un peu plus de 100 jours, environ un million de Tutsis ont été assassinés. Des Hutus modérés et d'autres opposants aux massacres ont également été tués. Le 29 avril 2025, la communauté rwandaise au Togo, en collaboration avec le Système des Nations Unies, l’Ambassade du Rwanda et le gouvernement togolais, a organisé un symposium commémoratif à Lomé, en hommage aux victimes du génocide. Cette rencontre, première du genre au Togo, a vu la participation de l’Ambassadeur du Rwanda au Togo, Son Excellence Mme Rosemary Mbabazi; de la Coordonnatrice Résidente du système des Nations Unies au Togo, Mme Coumba Sow; du Secrétaire général du ministère togolais des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur, M. Afo Salifou; des membres du corps diplomatique, des membres de la communauté rwandaise au Togo et de plusieurs étudiants.A l’occasion, l’Ambassadeur Rosemary Mbabazi a souligné l’importance du devoir de mémoire et le rôle des jeunes générations dans la prévention du génocide. Le Rwanda a appris de son passé tragique et reste déterminé à ce que cela ne se reproduise plus,a-t-elle affirmé. Elle a également encouragé les jeunes à « fermer toutes les portes à la haine » et à faire vivre les valeurs d’amour, de justice et de vérité.La Coordonnatrice Résidente du système des Nations Unies au Togo a rappelé l’origine de cette commémoration le 7 avril décidée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 23 Décembre 2003 et l’encouragement du Secrétaire général António Guterres à organiser des événements autour de cette date. Elle a délivré le message du Secrétaire général lors de la commémoration de cette année : Engageons-nous à être vigilants et à œuvrer à un monde juste et digne, en mémoire des victimes et des rescapés du génocide de 1994 contre les Tutsis au Rwanda. De son côté, le représentant du gouvernement togolais a renouvelé l’engagement du Togo à respecter et promouvoir les principes de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide. Il a salué « la résilience admirable » du peuple rwandais, ainsi que les efforts du gouvernement rwandais pour faire de la mémoire un outil de réconciliation et de développement durable. Avant le symposium, les participants ont participé à une “Marche du Souvenir” en l'honneur des victimes du génocide perpétré en 1994 contre les Tutsis au Rwanda. , filtered_html
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15 avril 2025
Le PNUD pour l’inclusion des personnes en situation de handicap
Le handicap n’est pas un frein à l’épanouissement socio-professionnelAkoko Folibey-Sebio fait partie des étoiles montantes de la mode togolaise. Malgré son handicap physique, elle a su s’imposer dans son domaine d’activité. Atteinte de poliomyélite dès l’âge de 18 mois, elle a perdu définitivement l’usage de ses jambes. Elle vit désormais avec un handicap qui ne lui permet pas de faire usage de ses membres inférieurs, se déplaçant uniquement à l’aide de béquilles ou d’un fauteuil roulant. Avec sa situation de handicap, Akoko a bravé des discriminations de toutes sortes. « Quand j’étais enfant, j’utilisais déjà des béquilles ce qui a fait que je n’avais pas de camarades de jeux. J’étais la plupart du temps seule parce que je ne pouvais ni marcher, ni courir avec les autres», explique-t-elle. Malgré cet obstacle, Akoko a concrétisé son rêve de devenir une styliste renommée. « Cela a été un défi pour moi et je l’ai relevé », dit-t-elle avec fierté. Aujourd’hui, sa griffe "Crédaniah" est présente dans de nombreux défilés de mode et très sollicitée par une clientèle diversifiée. Akoko forme également beaucoup d’apprenties et ouvrières dont la plupart sont des malentendants. « Tout est possible à qui rêve, travaille et n’abandonne jamais. Nous devons laisser de côté les préjugés que nous avons envers ceux qui sont différents et donner la chance à toute personne, qu’elle soit valide ou handicapée, homme ou femme de développer ses compétences et talents au service du pays. Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits, comme le déclare le premier article de la Déclaration universelle des droits de l’homme », ajoute-t-elle.Pour partager son espoir avec toutes les personnes en situation de handicap, Akoko milite dans l’association "Mon handicap Ma force ", une association qui bénéficie du soutien du PNUD.Le PNUD soutient l'autonomisation des personnes en situation de handicapLe 08 Avril 2025, le PNUD a procédé à la remise officielle d'équipements d'une valeur de 94.473.350 FCFA à l'association "Mon Handicap Ma Force". Cette initiative s'inscrit dans le projet d'appui à la croissance inclusive, résiliente et créatrice d'emplois au Togo. Les corps de métiers tels que la cordonnerie et la couture ont ainsi bénéficié de matériels de pointe.« Ces équipements couvrent divers corps de métiers et permettront aux bénéficiaires d’améliorer leurs conditions de travail et leur performance », a indiqué Binta Sanneh, Représentante résidente du PNUD, qui a réitéré l’engagement de l’organisme à accompagner le gouvernement dans sa mission de l’inclusion de tous. L’association "Mon Handicap Ma Force ", forte de son engagement à valoriser les aptitudes de ses membres, trouve dans ce partenariat un élan précieux. L’objectif de l’association est de briser les chaînes de la dépendance économique, permettant à ces artisans de s’élever en entrepreneurs autonomes, capables de subvenir à leurs besoins et d’enrichir leur communauté. « Le don (…) ne se limite pas à du matériel. Il représente pour chacun de nos entrepreneurs bénéficiaires un tremplin vers l’autonomie. Ce soutien permettra à nos membres entrepreneurs de gagner en mobilité, en indépendance et surtout en performance », a souligné Akoko Folibey-Sebio.Conformément à l’Axe 1 de la Feuille de route relatif au renforcement de l’inclusion et de l’harmonie sociales, le Togo poursuit ses efforts pour améliorer l’insertion professionnelle des personnes vivant avec un handicap. A travers à travers le projet d’appui à l’insertion socioprofessionnelle des personnes handicapées, le gouvernement finance l’amélioration des conditions de vie et d’insertion sociale des personnes handicapées ainsi que leur autonomisation. Il aide les personnes en situation de handicap à entrer en apprentissage pour des qualifications professionnelles en leur payant des frais de formation et assurer leur installation. Il finance également la fourniture des aides techniques notamment les tricycles et cannes blanches aux personnes handicapées afin de faciliter leur déplacement., filtered_html
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Histoire
28 mars 2025
Réunion trimestrielle de la plateforme des Partenaires Techniques et Financiers : engagements renouvelés pour le développement du Togo
Le 27 mars 2025, la plateforme des partenaires techniques et financiers du Togo a organisé sa première réunion trimestrielle de l’année, réunissant les chefs de coopération, les représentants de banque de développement et des organisations internationales accréditées dans le pays. Cette rencontre, présidée par Mme Coumba Dieng Sow, Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies au Togo, a été rehaussée par la présence de M. Essowè Georges Barcola, ministre de l’Économie et des Finances. Mme Ngone Diop, Directrice régionale Afrique de l’Ouest de la Commission Economique pour l’Afrique (CEA), en mission à Lomé, a également pris part à la rencontre. La réunion a offert une occasion importante de renouveler l'engagement des partenaires au développement envers le Togo, en réaffirmant leur volonté d’accompagner le pays dans la mise en œuvre de ses priorités stratégiques à travers la feuille de route gouvernementale et l’accélération des objectifs de développement durable.Mme Coumba Dieng Sow, en tant que chef de file des partenaires techniques et financiers, a exprimé ses félicitations au Président de la République pour la nomination récente de vingt sénateurs et sénatrices dans une liste parfaitement paritaire avec 50% de femmes.Les échanges ont porté sur la situation économique et financière du pays. Le ministre a présenté les réformes macroéconomiques, financières et structurelles lancées par le gouvernement, mettant en lumière la résilience du Togo face aux défis économiques. Il a également évoqué les actions stratégiques pour assurer le succès de ces réformes.Les partenaires techniques et financiers ont confirmé leur soutien au Togo, en partageant les initiatives de leurs institutions respectives. On retiendra notamment le soutien des institutions financières internationales dans la gestion de la dette dans les limites des règles de l’UEMOA, l’optimisation des dépenses publiques, le renforcement de la résilience face aux chocs climatiques et aux conflits dans la zone sahélienne, ainsi que la modernisation et la digitalisation des services publics pour en améliorer l'efficacité.Enfin, les participants ont abordé les défis et opportunités dans un contexte mondial complexe, marqué par des incertitudes économiques et des tensions sur l’aide publique au développement. Les partenaires ont partagé les effets de cette situation sur les programmes en cours et ont convenu de renforcer leur collaboration et leur coordination afin de mieux soutenir les actions du gouvernement dans des secteurs stratégiques tels que l’énergie, l’eau, l’inclusion sociale, ainsi que la sécurité et la résilience des populations de la région des Savanes.A cet effet, il a été convenu de poursuivre le dialogue pour appuyer le gouvernement dans le financement de ces efforts à travers : L’actualisation de l’évaluation du financement du développement ;L’élaboration d’une stratégie intégrée de financement capable de mobiliser des financements pour la mise en œuvre des priorités nationales ;La mise en place d’un mécanisme fonctionnel de coordination et de suivi de l’impact des financements et des correctifs nécessaires en cas de besoins.Les partenaires techniques et financiers ont remercié M. Essowè Georges Barcola, ministre de l’Économie et des Finances pour sa présence et la transparence dans les échanges. Ils se sont engagés à mieux se coordonner pour répondre aux défis globaux qui affectent les pays du monde entier, le Togo et les pays de la sous-région., filtered_html
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12 juin 2025
Une athlète s’engage avec des jeunes togolais pour la restauration des terres
Ce jeudi matin, 5 juin 2025, une ambiance particulière règne au lycée de Démé, à Tsévié. La vaste cour habituée aux cris et aux courses des élèves s’est transformée en un véritable stade de mobilisation écologique et sportive. Sous un ciel bleu, une centaine de jeunes filles et garçons en tenue de sport, visages rayonnants, des plants d’arbre en main. A leur tête, une personnalité inhabituelle dans le milieu, dont la présence attire la curiosité des jeunes lycéens : Naomi Akakpo, athlète internationale, connue dans la discipline de la course de haies, et porte drapeau du Togo aux Jeux olympiques de Paris 2024.Elle est à Tsévié ce jour dans le cadre de la campagne internationale Sport4Land lancée par la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (CNULD) en vue de mobiliser des athlètes du monde entier pour faire du sport un moteur de restauration environnementale. Arborant un maillot des Eperviers, emblème des équipes nationales du Togo, Noami Akakpo, cheveux frisés, un plant d’arbre dans une main et microphone dans l’autre, invite les jeunes lycéens à planter des arbres et à lutter contre la désertification car c’est un sujet qui nous touche tous. On est arrivé à un stade où la désertification impacte énormément nos terres. Chaque seconde, l’équivalent de 4 terrains de football disparaît dans le monde et nous en sommes tous responsables . 8h 00, Naomi Akapko donne le coup d’envoi, non pas pour franchir des haies, mais plutôt pour la mise en terre des plants. Au pas et de manière ordonnée, comme les athlètes courant vers le but, 700 arbres sont plantés dans la cour du lycée par l’athlète, des élèves, leurs enseignants ainsi que des représentants du gouvernement et du système des Nations unies au Togo. Monique, 15 ans en classe de seconde a du mal à contenir ses émotions :J’ai regardé tata Naomi à la télévision lors des jeux olympiques, je n’ai pas imaginé que j’aurais la chance de la croiser un jour en vrai et de lui serrer les mains. Elle est si simple et n’hésite pas à mettre les mains dans le sable comme nous pour planter des arbres. Elle m’inspire vraiment et je prendrai soin de cet arbre qu’elle m’a aidée à planter pour en faire un souvenir.A ses côtés, son camarade Joel, est très conscient des changements climatiques de notre planète et se réjouit de planter des arbres :c’est une immense joie qui m’anime en ce jour parce que, vu les énormes dégradations de notre environnement, planter des arbres est l’une des meilleures actions à mener pour éviter ces changements climatiques. Ensemble mes camarades et moi prévoyons de les entretenir avec soin pour les voir grandir dans les années à venir et nous remercions Mme Naomi et les Nations Unies de nous donner cette opportunité.Pour Naomi Akakpo, l’objectif au Togo est de parvenir à planter une forêt de 2028 arbres d’ici à 2028, année des prochains Jeux olympiques à Los Angeles ; de transmettre les bons gestes aux jeunes togolais à travers le sport et les jeux et encourager l’engagement du grand public en faveur de l’environnement. Une course, une forêt, un avenir Après la mise en terre des plants, les jeunes ultra motivés dans leur tenue de sport se mettent déjà en piste pour défier l’athlète. Cette dernière, organisée et méthodique, leur donne au préalable les premières notions de la course de haie. Elle leur fait ensuite une démonstration pratique saluée par des ovations. Des groupes se forment rapidement et la course est lancée. Après quelques essaies, et fières de leurs prestations, nombreux sont ceux et celles qui commencent par rêver de participer un jour aux jeux olympiques. Quand j’ai vu tata Naomi courir, ça m’a beaucoup plu et comme moi aussi j’aime travailler mon corps et faire du sport, je vais redoubler d’efforts pour arriver au même niveau un jour ,rêve Abidé, 14 ans. De son côté, Kafui est consciente qu’à défaut de devenir sportive de haut niveau, elle peut facilement sensibiliser son entourage au reboisement et à la lutte contre la désertification : la voir me motive à devenir comme elle. Je comprends que cela nécessite beaucoup de travail, mais en attendant, j’informerai les gens autour de moi des risques que nous courrons à l’avenir si nous ne plantons pas des arbres dès maintenant . Des ambitions des jeunes pour l’avenir qui confortent la championne de Sport4land dans son engagement. Pour Naomi, « être ici aujourd’hui pour sensibiliser les jeunes sur ce sujet est primordial et cela me tenait à cœur de l’associer au sport et à ma discipline de 100m haie pour leur montrer que le sport, l’environnement et la nutrition sont liées. Si dès leur jeune âge on arrive à leur inculquer les bonnes habitudes, les bonnes manières, ça peut avoir des conséquences positives sur notre avenir ». Un partenariat gouvernement, ONG et Nations Unies pour l’environnementLe lancement de cette forêt de 2028 arbres ce jour au Lycée de Démé à Tsévié s'inscrit dans le cadre des célébrations mondiales de la Journée de lutte contre la désertification et la sécheresse le 17 juin, dont le thème de cette année est : « Restaurer les terres. Saisir les opportunités ». L’initiative est menée en partenariat avec l’ONG APEVIA avec le soutien du gouvernement togolais et du système des Nations Unies au Togo.Selon la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (CNULCD), « plus de 40% des sols dans le monde sont déjà touchés par la dégradation » et l’urgence de leur restauration est plus que planétaire. Restaurer les terres dégradées est un investissement stratégique car, « chaque dollar investi peut générer jusqu’à 30 dollars de bénéfices pour les communautés et la planète ».La politique de reboisement lancée en 2021 au Togo visant à mettre en terre un milliard de plants à l’horizon 2030, s’impose comme le catalyseur d’une réponse collective et ambitieuse. Pour Dr ATUTONU Amah, Directrice des Ressources Forestières, il s’agit d’une belle mobilisation qui rassemble différents groupes, différentes initiatives, toutes convergeant vers un même objectif : préserver notre planète. Associer le sport au reboisement est une idée innovante. Les athlètes, par leur discipline, leur endurance, et leur esprit d’équipe, montrent qu’ils peuvent aussi être des acteurs du climat, œuvrant pour un avenir plus sain .La mise en terre des plants se poursuivra jusqu’aux Jeux Olympiques de Los Angeles 2028 pour la plantation symbolique d'une forêt, en partenariat avec l'ONG APEVIA dont les équipes animeront des ateliers de sensibilisation écologique, des séances pédagogiques sportives et assureront le suivi des arbres plantés avec les jeunes participants., filtered_html
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02 juin 2025
Vaccination : Objectif Zéro dose, par le déploiement de postes de stratégie avancée en santé
À Agotimé, un quartier en périphérie d’Adétikopé, dans la banlieue nord de Lomé, la communauté longtemps éprouvée par les difficultés d’accès aux soins de santé, retrouve du sourire depuis quelques semaines. Et pour cause Ce poste de santé installé dans notre quartier est un grand soulagement pour nos populations et surtout pour les femmes et les enfantsconfie Togbui Adjegnon Gnininvi, Chef quartier de Agotime-Centre. Ce dernier a mobilisé sa population et les bénéficiaires pour accueillir ce 22 mai 2025, l’Equipe pays des Nations Unies au Togo, accompagnée de la Directrice régionale de la santé du Grand Lomé, en visite au poste de stratégie avancée en santé de la localité. Assise derrière le chef sous la tente dressée pour la circonstance, Akouvi, un bébé de quelques mois dans les bras, tient la main d’un autre enfant d’environ deux ans. Sans attendre d’être interrogée sur la question, elle acquiesce avec enthousiasme les dires du chef et appuie : Avec la distance, nous n’arrivons pas à aller au CMS d’Adétikopé pour la vaccination et les soins de nos enfants. Mes deux enfants que voici, aucun n’avait encore été vacciné, et c’est grâce à ce centre que je les fais vacciner pour la première fois et je pourrai facilement leur faire suivre tous les rappelsLe cas d’Akouvi est un exemple qui illustre la situation de plusieurs parents dans les quartiers périphériques et les banlieues de Lomé et d’autres villes du pays. Dans ces zones, l’accès à une unité de santé public pour la vaccination des enfants reste un défi, créant un déficit de la couverture vaccinale avec un nombre élevé d’enfants zéro dose. Selon les données de l’Unicef, au Togo, une analyse désagrégée des données de vaccination a permis d’identifier 107 quartiers et bidonvilles où se trouvent les enfants zéro dose. L’étude des goulots d’étranglement qui limitent l’accès à la vaccination de routine a révélé la faible capacité des services à atteindre tous les enfants cibles et à les maintenir dans le programme. Ceci se passe notamment dans les régions Maritime, Plateaux et surtout dans le Grand Lomé où se retrouve près de 24% de l’ensemble des enfants zéro dose dans le pays. Stratégie urbaine de relance de la vaccinationDans le but de rattraper tous les enfants zéro dose et augmenter la couverture vaccinale, le Togo a élaboré, avec le soutien de l’Unicef, une stratégie urbaine pour relancer son système de vaccination pour ne laisser de côté aucun enfant des grandes villes. Cette stratégie urbaine consiste à désagréger l’ensemble des données de vaccination et à identifier les quartiers des enfants à zéro dose. Elle établit ensuite une cartographie des personnes clés dans chacune des communautés avec qui une démarche de co-création est menée en vue de parvenir à la création des postes de stratégie avancée. C’est le cas du centre de Agotimé. L’installation de ce poste de stratégie avancée en santé est une initiative pilote inédite qui consiste à se rapprocher des parents et des enfants et à leur offrir des services de proximité pour ainsi renforcer la couverture vaccinale et réduire le nombre d'enfants zéro dose dans le Grand Lomé ,a indiqué Mme Erinna Dia, Représentante résidente de l’Unicef au Togo.Cette expérience est saluée par les autorités togolaises. Mme Tagba-Pelei Tchilalou, Directrice régionale de la santé Grand-Lomé précise que Ce poste de santé est l’un des 8 dont a bénéficié la région sanitaire du Grand Lomé. Il contribue à pallier les difficultés d’accès aux soins de santé dans la commune d’Agoè-nyivé 6 qui ne dispose que d’un seul centre médico-social public pour une population de 117 971 habitants sur une superficie de 55 km2.Depuis sa mise en service en mars 2025, le poste de stratégie avancée d’Agotimé a permis d’enregistrer plus de 108 enfants pour la vaccination et de récupérer 384 sur 424 enfants perdus de vue dans le cadre de la vaccination de routine. Partenariat avec les formations sanitaires privéesEn plus des postes avancés, 85 formations sanitaires privées sont impliquées dans cette initiative comme partenaires pour renforcer l’offre des services. La stratégie urbaine mise en œuvre a également permis d’améliorer la qualité des services de vaccination à travers le renforcement des capacités de nouveaux agents, la mise à disposition de 132 nouveaux équipements de chaines de froids dont 72 au profit des formations sanitaires privées.A travers cette visite de terrain, l’équipe des Nations Unies au Togo qui a soutenu cette initiative par le biais de l’Unicef a réitéré son engagement aux côtés du gouvernement togolais pour l’accélération de l’atteinte des ODD au Togo et pour le bien-être des populations togolaises. Mme Coumba Sow, Coordonnatrice résidente du SNU au Togo a félicité les populations pour leur collaboration dans la démarche de co-création de ce poste et a invité les mamans à mobiliser leurs sœurs pour qu’aucun enfant ne soit laissé de côté., filtered_html
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30 mai 2025
Le Togo en guerre contre le mariage des enfants
Les mariages des mineurs, un phénomène qu’accentue la pauvreté Salma voulait être couturière. Au décès de son père, à 12 ans, elle a dû enterrer ce rêve avec lui. « A 13 ans, mes oncles m’ont trouvée un mari polygame 3 fois plus vieux que moi et ni ma mère, ni moi n’avons eu droit à la parole », explique-t-elle d’une voix triste. Revenue du marché un soir, sa mère lui avait annoncé la décision sans appel de ses oncles. « Je n’ai rien pu dire. Chez nous, un enfant ne doit jamais désobéir à ses parents », ajoute-t-elle. Depuis, elle a fui son mari et son village de Djarkpanga pour se retrouver à Lomé et ne le regrette guère. « Je n’étais pas du tout heureuse. J’ai fugué un beau matin. Voilà comment je me suis retrouvée à Lomé et je ne le regrette guère car je n’ai jamais aimé cet homme. Lui non plus ne m’a jamais aimée. Il me violait toutes les nuits et me maltraitait », se justifie Salma avec un soupir de soulagement. Tout comme Salma, Rabi, 36 ans, mère de 4 enfants, a été mariée de force à 16 ans. « J’ai tout perdu. Ma vie, ma liberté, mes études… », confie-t-elle. « A aucun moment de ma vie, je n’ai dit à mes parents, voici l’homme avec qui je veux me marier. C’est plutôt eux qui m’ont montré celui qui doit m’épouser. Avant même qu’ils ne m’informent, ils ont tout préparé. J’avais 16 ans et j’étais en classe de 5ème. L’homme à qui on m’a donnée avait 50 ans à l’époque. C’était un homme riche. Mes parents m’ont dit qu’il peut mieux s’occuper de moi. Cet homme m’a tout pris. 10 ans après le mariage, je n’arrive pas à m’en remettre. Je regrette surtout de n’avoir pas continué mes études», raconte-t-elle, avant de conclure résignée que «la vraie Rabi est morte». Loin d’être des cas isolés, les situations de Salma et Rabi sont très répandues dans les zones rurales pauvres où les parents font de nombreux enfants et se retrouvent en difficulté face à ce trop grand nombre de bouches à nourrir. Dans ces régions, la scolarisation des filles est un combat difficile. « L’école est perçue comme un long chemin incertain », explique Alidou Zakali, enseignant. « Les familles, souvent confrontées à une extrême pauvreté, voient dans le mariage un moyen de réduire leur charge financière ou de régler des dettes. Les filles, quant à elles, grandissent avec la certitude que leur avenir se décide sans elles », explique-t-il.Selon le rapport périodique soumis par le Togo au titre de la Convention relative aux droits de l’enfant en 2023 au Comité des droits de l’enfant des Nations Unies, « en 2017, 25% des jeunes filles étaient mariées avant l’âge de 18 ans ». Des adolescentes placées en apprentissage, des jeunes collégiennes et parfois même des écolières du primaire sont mariées de force, souvent livrées par leurs propres parents. Des actions pour sensibiliser contre le phénomèneLa loi togolaise interdit le mariage avant 18 ans par l’article 267 du Code de l’enfant qui fixe l’âge de la nuptialité à 18 ans révolus. La pratique est punie par un (01) à (03) trois ans d’emprisonnement et une amende de cent mille (100.000) à un million (1.000.000) FCFA. Par ailleurs, les dispositions de l’article 43 du Code togolais des personnes et de la famille stipulent que « l’homme et la femme choisissent librement leur conjoint et ne contractent le mariage que de leur libre et plein consentement ». Le texte précise, en écho aux différents mécanismes internationaux de protection des enfants et des mineurs, que « l’homme et la femme avant dix-huit ans ne peuvent contracter mariage». Pourtant, ces dispositions peinent à être respectées. Ces dernières années, plusieurs initiatives ont été mises en place dans le cadre de la lutte contre les mariages précoces et afin d’améliorer les conditions de vie des adolescentes. Des campagnes de sensibilisation sont organisées pour informer les populations de cette disposition et les inviter à son respect. Le 07 mai 2025, le gouvernement avec l’appui de ses partenaires dont l’UNICEF, a lancé une campagne nationale de sensibilisation contre le mariage des enfants et les grossesses précoces. L’initiative vise à renforcer la prévention de ces phénomènes qui compromettent l’avenir des filles. La campagne s’articule autour de plusieurs activités, entre autres, des séances de sensibilisation dans les écoles, des discussions communautaires, des journées de réflexion et des actions de proximité dans les villages et quartiers. L’objectif est de favoriser une prise de conscience collective et de promouvoir des comportements responsables. Un numéro vert, le 8250, permet de dénoncer toute violence ou tout dysfonctionnement constaté dans un établissement scolaire. Rappelons la date sombre du 13 décembre 2024, où Dagnon Justine, une adolescente de 13 ans mariée de force par son père pour rembourser une dette familiale de 127.000 FCFA, s’est donnée la mort. Forcée à un mariage contre son gré, Justine a subi des violences conjugales et psychologiques avant de mettre fin à ses jours en ingérant un produit toxique. Son cas, emblématique des lacunes dans l’application des lois togolaises, a provoqué une onde de choc et mis à nu les terribles conséquences du mariage forcé qui peuvent aller jusqu’à la mort. Souvent trop jeunes, à peine pubères, plus vulnérables, beaucoup de ces jeunes filles ne se remettent jamais des séquelles de ces mariages forcés. Lors de la campagne de sensibilisation, le Dr Pascal Fogan Nakou, Conseiller juridique et technique au ministère de l’Action sociale, de la solidarité et de la promotion de la femme a martelé que « les parents, les représentants légaux, ainsi que chaque leader, chef religieux ou traditionnel, doivent garantir à chaque fille le droit de grandir, d’apprendre et de s’épanouir pleinement avant de devenir épouse ou mère ». Espérons que cette campagne qui ne sera pas la dernière va nous rapprocher du but ultime qui est de maintenir les milliers de Salma, Rabi et Justine sur les bancs de l’école, dans les ateliers, et surtout, en tant qu’actrices de leur propre destin. Un pas dans l’atteinte de l’ODD 5 qui est pour l’égalité des sexe!, filtered_html
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12 mars 2025
UNIPOD: Un centre dédié à l’innovation et à l’entrepreneuriat
Fruit d’une collaboration entre le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et l’Université de Lomé dans le cadre de l’initiative Timbuktoo, cet espace est financé à hauteur de plus de 1 milliard FCFA. L’UNIPOD est un espace dédié aux porteurs de projets avec un accompagnement depuis la conception de leur idée de projet jusqu’à sa réalisation. Son ambition est de « devenir un catalyseur du développement national à travers sa capacité à promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes et à créer de la richesse », selon le Professeur Edem Koledji, directeur de l’UniPod-Togo. Pour y arriver, l’UniPod Togo offre ses services dans neuf (9) domaines, à tout type de porteur de projet. « On a tendance à croire que lorsqu’on est à l’Université de Lomé, le lieu n’est réservé qu’aux étudiants et aux enseignants-chercheurs. Je vous confirme que ce lieu est plus ouvert aux bricoleurs en ville, aux porteurs de projets, aux gens qui sont dans le domaine de l’innovation et qui n’ont même pas le Bac », ajoute Prof. Edem Koledji.Binta Sanneh, Représentante résidente du PNUD au Togo a saisi l’occasion de cette inauguration pour rappeler l’engagement du PNUD pour le développement : « Ce lancement incarne un engagement profond du Programme des Nations unies pour le développement et de l’Université de Lomé envers la jeunesse togolaise. La mise en place d’un tel dispositif constitue une main tendue à nos artisans, innovateurs, chercheurs, entrepreneurs en quête d’un espace dédié et propice au développement de leurs talents ». Selon elle, « grâce à UniPod, les étudiants et entrepreneurs togolais ont accès à un écosystème de soutien composé de mentors, de formateurs, de financements et d’opportunités de réseautage, les propulsant ainsi au niveau mondial ». Equipé d’appareils et de laboratoires de pointe, l’UNIPOD est destiné à former et à accompagner les startups dans les domaines de l’environnement et des énergies renouvelables, des technologies agroalimentaires, du textile et de la broderie avec des appareils plus performants pour faciliter le travail des tissus. Les équipements de l’UniPod Togo sont également une opportunité d’innovation pour les jeunes créateurs, notamment les travailleurs du bois, les acteurs de la mécanique, de l’électronique et de l’électricité. L’UniPod Togo dispose également d’un laboratoire de prototypage rapide permettant aux idées de prendre forme après l’étape de conception. Un laboratoire audiovisuel et de réalité visuelle y est également disponible pour les porteurs de projets dans ce sens. En plus des laboratoires, le Pôle universitaire d’innovation et de technologie implanté à l’Université de Lomé offre également un espace collaboratif pour faciliter le réseautage des porteurs d’idées, un espace d’art créatif, un amphithéâtre et dispose d’un bureau de transfert de technologie et de protection de la propriété intellectuelle.UniPod est une réponse aux besoins des porteurs de projets et étudiants qui ont ainsi l’opportunité de « connecter autant que possible, ce qui est appris dans les universités avec la possibilité́ de créer de la valeur », selon Kanka-Malik Natchaba, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il a appelé les jeunes porteurs d’idées à travailler ensemble afin d’imaginer des solutions durables aux besoins actuels de nos sociétés.Le projet UniPod porté par le PNUD à travers l’initiative Timbuktoo fait partie d’un réseau de 26 UniPods à travers l’Afrique, dont 14 sont déjà opérationnels. Il vise essentiellement à promouvoir l’innovation en milieu universitaire et à valoriser les produits de la recherche à travers un transfert de technologie. Ce pôle universitaire d'innovation vient compléter l'ensemble des investissements des Nations Unies pour le renforcement de l'enseignement supérieur, de l'innovation technologique et du développement des compétences des jeunes (filles, garçons, personnes handicapées). Au nombre de ces investissements, le centre de télédétection et de géomantique déployé par le PNUD Togo, la dotation par l’OMS d’une Unité de Génomique des Pathogènes Emergents et Ré-émergents (GénoPERe) et la construction en cours du Centre national de santé digitale. Ces appuis accompagnent la mise en œuvre des priorités nationales, notamment en matière de digitalisation., filtered_html
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Histoire
26 février 2025
Pro-SADI : La FAO et le PAM aux côtés du gouvernement togolais
Cette distribution lance la campagne agricole 2024-2025. 200 tonnes de semences certifiées de riz et de maïs et 2000 tonnes d’engrais (NPK et urée) sont distribuées à 10 000 petits producteurs (y compris les maraichers) dans les régions de la Kara et des Savanes.Par cette intervention, nous voulons que chaque petit producteur puisse bénéficier de semences améliorées et d’engrais pour produire et obtenir au moins sur un demi-hectare, un rendement moyen d’au moins 2 tonne/ha comparé à 1,5tonne/ha actuellement observées dans la zone pour le maïs, a expliqué Dr Oyétoundé DJIWA, chargé de programme du bureau de la FAO au Togo, lors de la cérémonie symbolique de remise des intrants aux organisations de producteurs. L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a bénéficié du financement de l’Union européenne (UE) dans le cadre du Projet de renforcement des systèmes alimentaires pour un accès durable des petits producteurs aux intrants agricoles (Pro-SADI). Le projet est à sa deuxième année de mise en œuvre. Le Pro-SADI aux côtés petits producteurs et des élèvesLe Pro-SADI s’est appuyé sur le PAM et la FAO pour accompagner le renforcement de la résilience des petits producteurs et ménages ruraux à travers deux approches : (i) l’alimentation scolaire intégrée basée sur une production locale mise en œuvre par le PAM et (ii) le renforcement des systèmes alimentaires pour un accès durable des petits producteurs aux intrants agricoles (Pro-SADI) mis en œuvre par la FAO. Le programme l’alimentation scolaire intégrée basée sur une production locale piloté par le PAM, " touche plusieurs dimensions du développement. On ne va plus chercher les vivres à l’extérieur pour les amener, mais on va chercher à booster la production locale pour satisfaire les besoins des enfants qui sont dans les écoles", selon le Dr Moise Ballo, directeur du PAM au Togo. Lors d’une visite dans une école à cantine scolaire, l’Ambassadeur de l’UE, Joaquim Tasso Villalonga, a apprécié cette synergie d’action entre le PAM et la FAO et a félicité les deux organisations des Nations Unies pour cette collaboration autour des cantines scolaires, qui fait la promotion de la production et de la consommation locale, facteur de création de richesses pérennes dans les communautés rurales. La faim peut être un facteur direct d’abandon scolaire. Une situation contre laquelle le gouvernement part en guerre à travers le programme national des cantines scolaires. Depuis des décennies, les moyens sont ainsi mis en œuvre pour que les élèves aient accès à des repas chauds à l’école,souligne Dindiogue Konlani, directeur de cabinet du Ministère de l'Agriculture, de l'Elevage et du Développement rural (MAEDR). Le programme des cantines scolaires institutionnalisé au Togo depuis 2020 est mis en œuvre actuellement par l’Agence nationale de développement à la base (Anadeb). Ce programme vise à lutter contre la déperdition scolaire, à augmenter le taux de fréquentation et de réussite scolaire, à assurer gratuitement au moins un repas par jour aux enfants du préscolaire et du primaire surtout pour les plus démunis. En 2020, près de 76 millions de repas chauds ont été servis à plus de 97.500 élèves de 315 écoles depuis le début du programme. Au titre de l’année scolaire 2021-2022, les cantines scolaires ont touché 1 121 écoles primaires publiques du Togo avec 17.867.144 repas chauds servis à 182.028 élèves, dont 87.941 filles. Au cours de l’année scolaire 2022-2023, près de 218.395 élèves des établissements primaires publics du Togo ont été touchés par les cantines scolaires. Au total, c’est 1,78 milliard FCFA qui a été mobilisé. Pour le Togo, l’ambition est désormais de parvenir à 300.000 élèves touchés sur le territoire en 2025., filtered_html
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Communiqué de presse
25 octobre 2024
Le Secrétaire général nomme Coumba D. Sow, originaire du Sénégal, en tant que Coordonnatrice résidente des Nations Unies au Togo
Mme Coumba a 20 ans d'expérience dans les domaines du développement et de l'assistance humanitaire. Elle a précédemment occupé le poste de Représentante des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) au Rwanda et à Djibouti, ainsi que de Coordonnatrice des urgences et de la résilience pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel, ainsi que d'autres postes de direction au sein de la FAO, notamment Responsable de l'Afrique au sein du bureau du Directeur général de la FAO.Elle a également de l’expérience en politique de développement agricole et rural en Afrique, en Asie et en Amérique latine.Elle est titulaire d'un master en gestion des politiques publiques de Sciences Po Paris, d'un diplôme de troisième cycle en économie agricole de l'Université de Londres et en agro-industrie de Montpellier., filtered_html
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Communiqué de presse
25 octobre 2024
Tsévié accueille le 79ème anniversaire des Nations Unies
Cette activité de sensibilisation publique se tient le vendredi 25 octobre 2024 à la place du marché moderne de Tsévié avec pour thème : « Le Système des Nations Unies avec les communautés, pour le bien-être des générations actuelles et futures »Sont inscrits au programme de cette célébration ;Des consultations médicales (prise de poids, mesure de tension artérielle et de la glycémie, palpation des seins) ;L’offre de service de planification familiale avec l’ATBEF ;Le dépistage volontaire du VIH/SIDA et de l’hépatite B avec le Programme National de Lutte contre le sida ; Des sensibilisations sur le choléra, la dengue, l’hypertension artérielle, le diabète, la Mpox (variole du singe) ; L’enregistrement des naissances pour les élèves en classe de CM2 ; Une opération de don de sang avec le Centre National de Transfusion Sanguine ; La vaccination de routine pour les enfants de 0 à 5 ans. Il est également prévu des animations et jeux sur les stands avec de nombreux gadgets à gagner.En prélude à cette activité, le Coordonnatrice Résidente par intérim, procédera à la lecture du message du Secrétaire général des Nations Unies sur les antennes de la TVT, le jeudi 24 octobre.La célébration sera également marquée par une activité de sport communautaire du staff des Nations Unies et la population de Tsévié le samedi 26 octobre 2024 à partir de 6h 30, au stade Dr Kaolo, à l’occasion de la journée nationale du sport.La Journée des Nations unies, célébrée le 24 octobre chaque année, offre l'occasion d'amplifier le programme commun du SNU et de réaffirmer les objectifs et les principes de la Charte des Nations unies promulguée il y a de cela 79 ans.Ensemble, pour notre bien-être et celui des générations futures !Pour plus d'informations, veuillez contacter:Bureau du Coordonnateur résident du Système des Nations Unies au Togo, Tel : (+228) 22 21 20 22 ; , filtered_html
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Communiqué de presse
18 juillet 2024
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) au Togo améliore les postes frontaliers à Pogno et Tamong afin de renforcer la sécurité des frontières
Cette collaboration s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des projets « renforcement de la sécurité des frontières et la résilience des communautés frontalières dans le golfe de Guinée » et « renforcement des frontières Nord de la Côte d'Ivoire, du Ghana et du Togo » avec objectif principal de renforcer les capacités opérationnelles, techniques et sécuritaires des différentes frontières terrestres, d'accroître l'engagement des citoyens et de favoriser la coopération transfrontalière. La cérémonie de remise qui a eu lieu dans les locaux du ministère de la Sécurité et de la Protection Civile, a été présidée par le ministre de la Sécurité, en présence de l’ambassadeur d’Allemagne, du représentant de l’ambassade des Etats Unis d’Amérique, de la cheffe de mission de OIM Togo, du directeur du Programme d’urgence pour la région des Savanes des médias et des représentants des partenaires de mise en œuvre du projet. Pour la circonstance, Le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, Col. Calixte Batossie Madjoulba a relevé que le Togo se trouve confronté à de menaces aussi diverses que persistantes, qui nécessitent une attention de toutes les instances et des efforts multisectoriels, “Les moyens logistiques mis à la disposition de notre ministère viennent à point nommé, pour répondre à un besoin réel et pressant. Cette acquisition s’inscrit en droite ligne des initiatives mises en œuvre par le gouvernement, afin de renforcer les moyens opérationnels des forces de sécurité. Grâce à ce matériel, nous serons équipés pour accomplir cette mission avec plus d'efficacité et professionnalisme.” a-t-il déclaré.A l'instar des autres pays de la sous-région, le Togo fait face aux défis existants et émergents en matière de sécurité aux frontières, notamment l'extrémisme violent, les urgences de santé publique et les crises humanitaires. Face à ces défis, l'OIM propose une approche holistique et intégrée de la gestion des frontières comme réponse avec des actions dans cinq domaines stratégiques, dont le renforcement d'infrastructures et l'équipement des frontières, le système interconnecté d’Information et d’Analyse des Données sur la Migration (MIDAS), la coopération transfrontalière, la gestion humanitaire des frontières et l'engagement des communautés frontalières. “Nous aspirons à ce que toutes les frontières terrestres du Togo soient équipées du Système Midas, afin de renforcer la lutte contre toutes formes de criminalité transnationale et de générer des données fiables pour guider les décisions gouvernementales. C'est pourquoi, nous avons mis en place ces projets, dans le but de renforcer les capacités opérationnelles, techniques et sécuritaires des différentes frontières, en accroissant l'engagement des citoyens à favoriser la coopération transfrontalière” a souligné Mme Fatou Ndiaye Diallo, cheffe de mission de OIM Togo.
L'ambassadeur d'Allemagne au Togo, M. Claudius Fischbac, a exprimé sa reconnaissance à l'OIM pour la mise en œuvre réussie de ces projets. Il a souligné que la remise de ces équipements représente une avancée significative dans les efforts visant à promouvoir l'engagement et la coopération avec les communautés frontalières.De son côté, le chargé d'affaires de l'ambassade des USA au Togo, M. Ronald Hawkins a également salué le travail de l'OIM et insisté sur l'importance de cette initiative pour renforcer les relations avec les communautés frontalières. Les projets « renforcement de la sécurité des frontières et la résilience des communautés frontalières dans le golfe de Guinée » et « renforcement des frontières Nord de la Côte d'Ivoire, du Ghana et du Togo » sont respectivement financés par la République fédérale d’Allemagne et les Etats Unis d’Amérique. Pour plus d’informations veuillez contacter : M. Etienne Banga ; Chef bureau OIM Togo : ebanga@iom.int, filtered_html
L'ambassadeur d'Allemagne au Togo, M. Claudius Fischbac, a exprimé sa reconnaissance à l'OIM pour la mise en œuvre réussie de ces projets. Il a souligné que la remise de ces équipements représente une avancée significative dans les efforts visant à promouvoir l'engagement et la coopération avec les communautés frontalières.De son côté, le chargé d'affaires de l'ambassade des USA au Togo, M. Ronald Hawkins a également salué le travail de l'OIM et insisté sur l'importance de cette initiative pour renforcer les relations avec les communautés frontalières. Les projets « renforcement de la sécurité des frontières et la résilience des communautés frontalières dans le golfe de Guinée » et « renforcement des frontières Nord de la Côte d'Ivoire, du Ghana et du Togo » sont respectivement financés par la République fédérale d’Allemagne et les Etats Unis d’Amérique. Pour plus d’informations veuillez contacter : M. Etienne Banga ; Chef bureau OIM Togo : ebanga@iom.int, filtered_html
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Communiqué de presse
08 février 2024
Accroître les possibilités pour les PME togolaises à travers le renforcement des capacités sur les achats responsables
● Le Forum des possibilités de l’UNOPS (UP Forum en anglais) est une initiative de l’UNOPS qui vise à diversifier les fournisseurs locaux avec lesquels l’UNOPS travaille et à s’assurer que ceux-ci reflètent et partagent les valeurs de l’UNOPS, notamment les achats responsables et le développement durable et inclusif.
● Plus de 40 entreprises locales, y compris celles dirigées par des femmes, des jeunes et des personnes vivant avec un handicap, ont été invitées au UP Forum pour une formation sur les achats responsables et sur les outils nécessaires pour améliorer leurs compétences à répondre aux appels d’offres de l’UNOPS et du système des Nations Unies.
● Les entreprises auront également l'occasion d'aborder leurs défis financiers et d'explorer des solutions avec des banques locales qui sont des partenaires de l'UNOPS dans le pays.
Le 8 février 2024, Lomé, Togo - En tant que ressource centrale des Nations unies pour les achats, l’UNOPS (Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets) vise à soutenir les économies locales en travaillant avec des fournisseurs locaux, ce qui peut également contribuer à réduire l'impact sur l'environnement en diminuant les émissions de carbone. Afin de diversifier les fournisseurs locaux et renforcer leurs capacités sur les achats responsables, l’UNOPS en 2016 a lancé un programme des Forums des possibilités de l’UNOPS (UP Forum en anglais).
Le Togo a été choisi pour le deuxième UP Forum en Afrique de l’Ouest francophone, suite à l’expansion des activités d’achats de l’UNOPS dans le pays depuis son premier projet d’achat en 2017. Avec des partenaires tels que le Ministère de la Santé et la Banque Mondiale, l’UNOPS met en oeuvre des projets d’achats d’une valeur totale de 40 millions de dollars qui nécessite une forte collaboration avec les fournisseurs locaux.
L'UNOPS a constaté depuis sa première activité au Togo en 2017 que les entreprises locales ne répondaient pas correctement aux appels d'offres. C'est l'une des raisons pour lesquelles nous avons décidé d'introduire ce forum ici au Togo, afin d'en apprendre davantage sur les défis auxquels sont confrontées les PME togolaises, et de renforcer les capacités des PME en matière des achats responsables, qui est l'un des critères les plus importants pour devenir un fournisseur de l'UNOPS
a souligné Bernadette Diouf, Représentante de bureau pays de l'UNOPS au Togo.
Prévu sur deux jours, le forum a invité plus de 40 entreprises togolaises, y compris celles dirigées par des femmes, des jeunes et des personnes vivant avec un handicap, à promouvoir la diversité des fournisseurs et l'inclusion dans les appels d'offres de l'UNOPS.
Les travaux de ce forum sont une occasion pour le Togo de mieux découvrir les opportunités de travailler avec l’UNOPS. Les attentes des participants sont donc grandes au regard des différents sujets au programme
a souligné Mawunyo Zigan, Représentant du ministère de la Santé lors de la cérémonie d’ouverture.
Le premier jour, un panel de discussion technique a été organisé sur le rôle des achats responsables pour un développement résilient, inclusif et le développement économique local au Togo. Les coordonnateurs de projets du ministère de la Santé, spécialisés dans les achats durables et le Directeur de la Fédération des Associations de Personnes Handicapées (FETAPH) ont pris part au panel pour partager leurs expériences et leurs points de vue sur le sujet.
Une session de formation pour les fournisseurs suivra jusqu'au 9 février sur les plateformes d'appels d'offres en ligne utilisées par l'UNOPS et d'autres agences des Nations Unies, et sur les étapes à suivre pour soumettre des offres de qualité sur ces plateformes.
En plus d’améliorer les connaissances de fournisseurs diversifiés concernant les activités d’achats de l’UNOPS, le Forum invitera également des banques locales telles que Orabank et Ecobank à aborder les défis auxquels sont confrontées les PME togolaises et à explorer les solutions financières disponibles.
Ce forum permettra de créer des réseaux formels et informels entre les entreprises et les institutions participantes afin de tirer profit des opportunités émergentes. Et à long terme, il permettra à une plus grande diversité de fournisseurs compétents de répondre aux critères techniques des appels d'offres, ce qui favorisera la mise en oeuvre réussie des projets de l'UNOPS, et stimulera l'économie locale au Togo.
Remarques à l’intention des équipes de rédaction
Coordonnées pour la presse : Pour toute demande ou pour organiser un entretien avec l’une des personnes à l’origine de ce rapport, veuillez communiquer avec Juyoung LEE à l’adresse juyoungl@unops.org.
À propos de l’UNOPS
La mission de l’UNOPS consiste à améliorer la qualité de vie des communautés et à aider les pays à instaurer la paix et à parvenir à un développement durable. L’UNOPS aide les Nations Unies, des gouvernements et d’autres partenaires à gérer des projets et à mettre en place des infrastructures durables et des processus d’achats responsables de façon efficace. Pour en savoir plus : www.unops.org/fr
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Communiqué de presse
21 juillet 2023
DIX ECHOGRAPHES POUR SAUVER LA VIE DES FEMMES ET DES NOUVEAUX NES
Lomé, le 20 juillet 2023 : Dix échographes de nouvelle génération d’une valeur d’environ 84 millions de francs CFA ont été offerts hier par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) au ministère de la santé, de l’Hygiène Publique et de l’Accès Universel aux Soins.
Cette cérémonie de remise, présidée par Mme Binta Sanneh, Représentante résidente du PNUD, s’est déroulée en présence de Dr Apetsianyi Josée, Directrice Générale des Etudes, de la Planification et de l'Information Sanitaire représentant son ministre de tutelle, ainsi que de la Coordinatrice résidente par intérim du Système des Nations Unies (SNU)et représentante de l’OMS au Togo, Dr Binta Diallo.
"L’appui au secteur de la santé constitue une thématique importante pour le soutien aux populations, surtout les plus vulnérables, notamment les femmes, les enfants et les personnes âgées. Cela implique que l’offre de services de santé de base de qualité soit disponible et accessible à tous."
a déclaré Mme Sanneh.
Selon cette dernière, l’objectif visé par cet appui du PNUD est de " renforcer la capacité des formations sanitaires dans le diagnostic et la prise en charge des femmes par l’amélioration des résultats de la morbidité et de la mortalité des femmes et de nouveau-nés admis en gynécologie et en obstétrique".
Pour sa part, l’envoyée du ministre, Dr Apetsianyi Josée s’est réjoui de ce nouvel appui et a témoignée la gratitude du gouvernement au PNUD. " Cet appui, totalement en lien avec les objectifs de la feuille de route gouvernementale 2020-2025, s’inscrit dans la droite ligne des priorités du gouvernement et dans la politique de santé pour tous pour une couverture sanitaire universelle et pour le bien-être de nos populations" a-t-elle affirmé.
La Coordonnatrice résidente par intérim du SNU, Dr Diallo a de son côté salué les multiples actions du PNUD dans le domaine de la santé au Togo. " C’est la première fois en 19 ans de carrière que je vois le PNUD pleinement engagé dans le système de santé de façon infaillible et surtout dans des domaines pointus les plus difficiles tels que les infrastructures" a-t-elle expliqué.
Depuis 2019 en effet, le PNUD s’est lancé dans un vaste programme dénommé projet Impact Communautaire. Ses interventions dans le domaine de la santé ont permis de renforcer les infrastructures sanitaires (la construction et la réhabilitation de formations sanitaires à Gbowoule (Haho 2), Awandjélo (Kozah 3), Bè-Kpota (Golfe 1) rendant accessible les soins de santé à plus de 429 556 personnes vulnérables ; améliorer le plateau technique en milieu hospitalier par des équipements médico-techniques modernes aux urgences chirurgicales du CHU Sylvanus Olympio, améliorant ainsi la capacité d’accueil du service de 18 à 30 lits, l’équipement du bloc opératoire de gynéco-obstétrique du CHU Campus, etc.
Les projets de santé d’impact au niveau communautaire ont également été renforcés comme les consultations foraines, les soins bucco-dentaires de proximité en milieu rural dans les préfectures de Mô, Wawa, Otis sud, Est_mono, keran et Kpendjal à plus de 7000 personnes vulnérables (dont 52% de femmes).
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Le PNUD forge des partenariats à tous les niveaux de la société pour aider à construire des nations résilientes, afin de mener à bien une croissance qui améliore la qualité de vie de chacun. Présents dans environ 170 pays et territoires, nous offrons une perspective mondiale et des connaissances locales au service des peuples et des nations. www.undp.org
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